Massacre de chiens en Egypte
Allez s’il vous plaît voir le site de Zara whites
http://zara-ecolo.over-blog.com/
Elle dénonce d’affreuses pratiques faites à l’égard des chiens en Egypte, et puis il y a une pétition à faire suivre à l’ambassade….
Merci de votre soutien…
L’esclavagisme, l’abolition
L’esclavage désigne la condition sociale de l’esclave, un travailleur non libre et généralement non rémunéré qui est juridiquement la propriété d’une autre personne et donc négociable, au même titre qu’un objet. Au sens large, l’esclavage est le système socio-économique reposant sur le maintien et l’exploitation de personnes dans cette condition. En France, il est considéré comme un crime contre l’humanité.
Les esclaves sont tenus d’obéir à tous les ordres de leur maître depuis leur naissance (ou capture, ou passage à l’état d’esclave) jusqu’à leur mort (ou parfois leur libération, ou affranchissement).
En tant que propriété, l’esclave peut faire l’objet des transferts inhérents à la notion de propriété : on peut donc l’acheter, le vendre, et même le louer.
L’esclave se distingue du captif ou du forçat, conditions voisines dans l’exploitation, et de la bête de somme, par un statut juridique propre, déterminé par les règles et les lois en vigueur dans le pays et l’époque considérés
Le terme « moderne » esclavage vient du latin médiéval sclavus déformation de slavus (le slave), de grec sklabos. Le mot «esclave» serait apparu au Haut Moyen Âge à Venise, où la plupart des esclaves étaient des Slaves des Balkans (une région qui s’est longtemps appelée «Esclavonie» et qui est récemment devenue indépendante, sous le nom de «Slovénie»).
Rome pratiquant l’esclavage, le latin disposait évidemment d’un terme pour désigner l’esclave: servus, qui a conduit aux termes servile et servilité (relatifs à l’esclave et à sa condition), ainsi qu’aux termes serf du Moyen Âge et aux modernes service, serviteur, etc. (avec des évolutions dans le sens).
Selon l’Académie française, l’esclave est une « personne qui n’est pas de condition libre, qui appartient à un maître exerçant sur elle un pouvoir absolu. »[1] L’esclavage est donc avant tout la condition d’esclave, et la réduction d’un homme à l’état d’esclave, de manière généralement involontaire. L’esclave peut dépendre de toute autorité : personne, groupe, organisation, État.
L’Académie ajoute à cela, par extension, toute « institution sociale fondée sur l’existence d’une classe d’esclaves » Par analogie, l’esclavage est donc l’ »état, [la] condition de ceux qui sont soumis à une tyrannie, à une autorité arbitraire ; asservissement, servitude. » La définition n’exclut donc pas formellement la notion de servitude volontaire.
Plusieurs textes internationaux ont tenté de définir la notion d’esclavage.
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La convention relative à l’esclavage (1926) de la Société des nations dispose en son article premier que « L’esclavage est l’état ou condition d’un individu sur lequel s’exercent les attributs du droit de propriété ou certains d’entre eux ». L’article définit également la traite des esclaves comme « tout acte de capture, d’acquisition ou de cession d’un individu en vue de la réduire en esclavage; tout acte d’acquisition d’un esclave en vue de le vendre ou de l’échanger; tout acte de cession par vente ou échange d’un esclave acquis en vue d’être vendu ou échangé, ainsi que, en général, tout acte de commerce ou de transport d’esclaves. »
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L’Organisation internationale du travail a adopté en 1930 une définition du travail forcé que l’on peut rapprocher de celle de l’esclavage : « le terme travail forcé ou obligatoire désignera tout travail ou service exigé d’un individu sous la menace d’une peine quelconque et pour lequel ledit individu ne s’est pas offert de plein gré. »
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La convention relative à l’abolition de l’esclavage (1956) des Nations unies renvoie à la définition de la convention de 1926, en ajoutant en son article premier plusieurs « Institutions et pratiques analogues à l’esclavage » : servitude pour dettes, servage, mariage forcé, etc.
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L’existence de l’esclavage entraîne logiquement l’existence d’un commerce des esclaves souvent étudié séparément. Cela découle de plusieurs constantes dans les différentes formes d’esclavage. L’esclave répond en effet constamment à certains critères. Il est considéré comme relevant de la propriété privée (certaines civilisations ayant cependant connu des esclaves publics), mais est généralement d’origine étrangère, ou relève du moins d’une ethnie différente de l’ethnie dominante.
Les réseaux commerciaux ont évolué en fonction du « marché ». Tourné vers l’Europe dans l’Antiquité et au cours du Moyen Âge, le commerce européen des esclaves a évolué vers une forme transatlantique à l’époque moderne, dite de commerce triangulaire, tandis que le commerce musulman des esclaves est resté à destination des pays musulmans depuis les zones d’approvisionnement tradionnelles du monde musulman (Afrique Noire, Europe, mer Noire) jusqu’au XIXe siècle.
Cette traite a ainsi permis au Nouveau Monde et aux économies européennes de se développer rapidement, grâce à une main-d’œuvre corvéable et bon marché, importée d’Afrique noire du XVIe siècle au XIXe siècle. Les estimations du nombre de déportés varient, selon les auteurs, de 11 millions (pour Olivier Pétré-Grenouilleau)à 50 millions (pour Victor Bissengué)en 1789.
Les formes actuelles de l’esclavage répondent aux mêmes caractéristiques, notamment les réseaux de proxénétisme, tournés vers les lieux de consommation.
La première trace d’une abolition de l’esclavage est la série de lois édictées en 958 par Gwangjong, le quatrième roi du royaume de Koryŏ (Corée actuelle), mais les invasions qui ont suivi ont balayé cette réforme. En Europe à la même époque, les marchés aux esclaves sont progressivement interdits, sous l’influence de l’Église (voir sainte Bathilde). L’Empire du Mali interdit à son tour l’esclavage au XIIIe siècle, sous Soundiata Keïta (il sera rétabli en 1591 par le pacha marocain Djouder, puis à nouveau aboli en 1891 avec l’arrivée des Français).
En Europe, le Portugal fut le premier pays à abolir l’esclavage par un décret du 12 février 1761 (Marquis de Pombal).
En France, le 16 pluviôse an II (4 février 1794), la Convention vote l’abolition de l’ esclavage dans les colonies françaises (ou ce qu’il en reste). Cette mesure méritante, sera abrogée par Napoléon Bonaparte. Il l’est en 1833 en Angleterre et 1847 dans l’Empire ottoman. La France attend ainsi 1848, année qui voit Victor Schoelcher faire adopter le décret d’abolition définitif pour ce qui concerne l’hexagone.
En 1865 les États-Unis promulguent le 13e amendement interdisant l’esclavage. La question de l’esclavage, en partie révélée par le livre La Case de l’oncle Tom conduisit Abraham Lincoln à promettre son abolition s’il était élu. Son élection conduisit donc les États du Sud à demander la Sécession. Celle-ci leur fut refusée (elle aurait en effet privé les caisses fédérales de l’essentiel de ses impôts), conduisant à la guerre civile. La Guerre de Sécession qui en suivit sera la plus meurtrière de toute l’histoire de ce pays.
En droit positif la prohibition de l’esclavage est contenue dans les articles 4 de la Convention européenne des droits de l’homme et de la Déclaration universelle des Droits de l’homme, l’article 8 du Pacte des droits civils et politiques de l’ONU, dans la convention de Genève de 1926, de New York de 1956, de l’OIT de 1930 et 1936.
L’esclavage n’a cependant pas totalement disparu dans certaines régions du monde, comme la péninsule arabique ou le sous-continent indien. L’Organisation internationale du travail (OIT) estime à 25 millions le nombre de personnes vivant actuellement dans des conditions assimilables à de l’esclavage, d’où le terme d’ « esclavage moderne ». Selon l’ONU, chaque année, deux millions de personnes sont réduites en esclavage.
L’esclavage réapparaît actuellement au Soudan. Les Musulmans du nord ont rétabli la Charia lors de la décolonisation et l’appliquent de force aux noirs chrétiens et animistes du sud qui se sont rebellés. Ceux-ci, repoussés dans la Province Équatoriale, la plus insalubre, ont résisté de leur mieux depuis l’indépendance. Aussi les forces gouvernementales ont-elles massacré les populations civiles de nombreux villages et continuent à y enlever de nombreux enfants pour les convertir à l’islam et les utiliser comme esclaves à Khartoum.
Dans les pays développés, par extension et suite à l’évolution des points de vue, le politiquement correct considère d’autres situations assimilables à de l’esclavage moderne :
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le proxénétisme dont le tourisme sexuel.
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le travail clandestin,
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certaines conditions de travail comme le travail des enfants par exemple
En 2000, l’UNICEF estimait que 200 000 enfants étaient retenus en esclavage en Afrique centrale et occidentale. D’après l’Organisation Internationale des Migrations (OIM) quelque 200 000 femmes et enfants sont victimes de l’esclavage.
La pratique des enfants soldats peut également être assimilée à une forme d’esclavage, d’autant qu’à l’emprise psychologique mise en œuvre sur des enfants, s’ajoute la dépendance physiologique obtenue par l’usage de drogues fortes.
Rudolf Noureev
Rudolf Hametovitch Noureev (ou Nouriev ou Noureyev, en russe Рудольф Хаметович Нуриев, en tatare Rudolf Xämät ulı Nuriev) est un danseur étoile né le 17 mars 1938 en Russie pendant un voyage en train un peu avant Irkoutsk vers Vladivostok. Après avoir été danseur soliste au Kirov, il se fait naturaliser autrichien. Il était doté d’une technique exemplaire.
Il fut l’un des meilleurs interprètes du répertoire classique, mais il affirma aussi son talent dans la danse moderne.
En 1963, il danse dans Marguerite et Armand avec Margot Fonteyn au Royal Opera House de Londres, puis dans Bach Suite en 1983. Également chorégraphe, il fut directeur de la danse à l’Opéra de Paris (1983-1989). Admirateur de l’école française et inconditionnel de Bournonville et de Petipa, luttant contre la mort, il remonte deux œuvres de ce dernier : Raymonda (1898) et La Bayadère (1877).
Ce fut aussi l’un des premiers danseurs qui s’intéressa de nouveau au répertoire baroque.
Il est décédé du sida le 6 janvier 1993 près de Paris. Il est enterré au cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne).
Biographie chronologique :
Jeudi 17 mars 1938 : Son père l’enregistre le 4 avril à la mairie de Razdolnaïa, la ville la plus proche de son camp militaire. Aucun témoin ne peut donner précisément son heure de naissance, la nuit tombe très tôt en Sibérie à cette période de l’année. Pendant 16 mois, il vivra sur la base d’artillerie de Razdolnaïa.
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Juillet 1939 : ses sœurs, sa mère et lui prennent le Transsibérien (14 jours de voyage) pour gagner Moscou, où Hamet est muté.
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Jusqu’en 1945 : Hamet sert sur le second front en Ukraine avec le grade de lieutenant de l’Armée rouge.
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Octobre 1941 : ses sœurs, sa mère et lui quittent Moscou, suite aux premiers bombardements. Ils arrivent à Tchichouana. Ils vivaient là dans une pièce de 9 m² avec un vieux couple de près de quatre-vingts ans.
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Printemps 1942 : ils emménagent à Oufa, chez un oncle de son père qui a gardé le nom de Fasli. Ils habitent à l’angle des rues Svedlova et Zentsova avec une autre famille, dans un appartement de 14 m². Hamet est promu capitaine, mais envoie de rares missives aux siens.
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1945 : à 7 ans, Rudolf entre à la « grande école », située d’abord rue Svedlova puis Aktsatva. La danse entre pour la première fois dans sa vie : les cours de chant et danse sur les chants folkloriques bachkirs sont obligatoires.
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31 décembre 1945 : la compagnie de danse d’Oufa, accompagnée de danseurs réfugiés du Bolchoï et du Kirov, donnen un représentation à l’Opéra d’Oufa. Rudolf est sous le choc en voyant le premier ballet, Le Chant des cigognes, avec la danseuse étoile bachkire formée à Leningrad, Laïtuna Nazretdinova, dans une chorégraphie de Nina Anisimova. Il décide de devenir danseur.
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Août 1946 : Hamet rentre pour la première fois à la maison. Il revoit sa famille qu’il n’avait plus vue depuis plus de 6 ans. Il va perturber entièrement la routine installée depuis lors. Il va vouloir « viriliser » les activités de son fils unique, le privant de danse et l’initiant vainement à la pêche.
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1946 : la famille déménage au n° 37 de la rue Zentov. Rudolf participe au spectacle de danse des Jeunes Guides. Il veut apprendre le piano, son père le lui interdit.
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1949 : Oudeltsova, ancienne danseuse des Ballets russes de Diaghilev, devient son professeur de danse privé. Il prend des cours deux fois par semaine gratuitement. Il y reste 18 mois, le temps d’apprendre les bases de la danse classique. On lui conseille de prendre des cours avec Elena Konstantinova Vaïtovitch, maîtresse du ballet à l’Opéra d’Oufa, mais son père refuse. Il finira par suivre des cours avec elle, en cachette.
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À 16 ans on lui offre un premier rôle de figurant pour l’Opéra d’Oufa (10 roubles par soirée). Il quitte l’école traditionnelle pour l’école de la Jeunesse Ouvrière.
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Vers 1954 : Rudolf finit par économiser suffisamment pour se rendre à Moscou, mais il dort dans la rue. Après une courte escapade, il retourne à Oufa. Victor Kranstovitch Parinas, professeur à l’Opéra de la ville, propose de l’engager définitivement dans son corps de ballet.
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2 juillet 1955 : il reçoit une convocation pour passer l’examen d’entrée à l’école de ballet de Saint-Pétersbourg. À la même époque, il participe à une tournée organisée par l’Opéra d’Oufa allant jusqu’à Moscou. Il s’agit d’une décade d’art bachkir. Suite à une audition avec Asaf Masserer, l’un des plus grands danseurs russes et figure légendaire du Bolchoï, il est admis à ce théâtre. Malheureusement, l’école n’a pas d’internat, il doit donc y renoncer : sans bourse et sans l’aide de sa famille c’est impossible.
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1955-1958 : études à l’École Vaganova de Léningrad, avec le maître Alexandre Pouchkine.
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1959-1961 : admis dans le corps de ballet du Kirov, il en devient vite soliste (Le Corsaire, Don Quichotte, Le Lac des cygnes, La Belle au bois dormant).
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17 juin 1961 : en tournée en France avec le Kirov (La Bayadère), insoumis, il demande l’asile politique à l’aérodrome du Bourget. Il est engagé dans les Ballets du Marquis de Cuevas.
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1962 : débuts au Covent Garden de Londres (Giselle avec Margot Fonteyn). Interprète exceptionnel des créations de Frederick Ashton, Rudi van Dantzig, Roland Petit, Maurice Béjart, George Balanchine, Glen Tetley, Martha Graham et Murray Louis. Il remonte et adapte les ballets de Marius Petipa.
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Septembre 1983 : nommé directeur de la Danse à l’Opéra de Paris.
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Novembre 1989 : il revient sur la scène du Kirov de Léningrad après 28 ans d’exil. Il quitte son poste de directeur de la Danse mais en reste le chorégraphe principal.
Noureev est fait Chevalier de la Légion d’honneur en 1988 et Commandeur des Arts et des Lettres en 1992. Il meurt à Paris le 6 janvier 1993.
Lorsque le sida apparaît en France, aux alentours de 1982, Noureev, à l’image de nombreux homosexuels, n’y prend pas garde. Il est probablement infecté par le VIH au début des années 1980. Pendant de nombreuses années, il a nié le fait ; lorsque, vers 1990, il devient malade de façon évidente, il fait semblant d’être atteint de nombreuses autres maladies. Il essaie plusieurs traitements expérimentaux, qui ne ralentissent pas la dégénérescence inéluctable de son corps.
Il doit cependant finalement affronter la réalité. À cette époque, son courage suscite l’admiration de beaucoup de ses détracteurs. Sa déchéance physique le fait souffrir, mais il continue à se battre en se montrant en public. Au cours de sa dernière apparition publique, lors d’une représentation de La Bayadère au Palais Garnier, le public lui fait une ovation debout. Le ministre de la culture Jack Lang lui remet la plus haute récompense culturelle, le faisant chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
Il meurt à Levallois-Perret quelques mois plus tard, à l’âge de 54 ans.
Aujourd’hui on parle moins du sida, mais c’est une maladie qui existe toujours, il ne faut pas l’oublier.
Continuons d’en informer les plus jeunes (parfois mêmes ceux qui le sont moins).
Peut-on rire autour d’une tombe ?
La corrida, rite sanglant que 83 % des Français réprouvent, consiste à torturer six taureaux durant un quart d’heure chacun. Passé ce laps de temps, le taureau comprend qu’il faut foncer dans le torero et pas dans l’étoffe rouge. Il devient alors un criminel aux yeux des aficionados…
En premier lieu, le picador enfonce une lance (jusqu’à trente centimètres de profondeur) et fouille la plaie, afin de cisailler le ligament de la nuque et contraindre l’animal à baisser la tête. Il ouvre ensuite la blessure en y plantant six harpons de quatre à sept centimètres : les banderilles. L’animal est enfin mis à mort, au mieux d’un seul coup d’épée mais c’est rarissime. Une épée plus courte et un poignard sont alors nécessaires pour porter les coups ultimes. Triste record détenu à ce jour : trente-quatre tentatives !
Car la barbarie est indéfendable. Aucun argument ne résiste à un examen objectif. Importées d’Espagne il y a cent cinquante ans, la corrida ne fait nullement partie de nos traditions. Il faut être muni d’un dictionnaire pour en décoder le langage ! L’argument économique ne tient pas non plus : justifier la cruauté par l’argent reviendrait à remettre en cause l’essentiel d’une nation qui se prétend civilisée. Quant à l’art, dialectique éculée qui ne fait plus illusion, Victor Hugo, Courteline, et Malraux,farouches opposants à la corrida, n’ont rien à envier à Goya, Picasso ou Hemingway !
Enfin, eu égard à leur prétendu courage, rappelons que, en 1992 à Saint-Sever, des toreros ont organisé une expédition punitive de nuit, par vengeance et par dépit. En effet, on leur avait préféré des tueurs espagnols. Au lieu d’affronter les responsables de leur éviction, ils ont préféré poignarder lâchement les taureaux prévus pour la corrida du lendemain ! Denis Loré et Stéphane Fernandez Meca, condamnés en 1994 pourdestruction de biens mobiliers, sont devenus matadors vedettes, portés aux nues par toute la presse, qui vante leur courage ! Car la barbarie est indéfendable. Aucun argument ne résiste à un examen objectif. Importées d’Espagne il y a cent cinquante ans, la corrida ne fait nullement partie de nos traditions. Il faut être muni d’un dictionnaire pour en décoder le langage ! L’argument économique ne tient pas non plus : justifier la cruauté par l’argent reviendrait à remettre en cause l’essentiel d’une nation qui se prétend civilisée. Quant à l’art, dialectique éculée qui ne fait plus illusion, Victor Hugo, Courteline, et Malraux,farouches opposants à la corrida, n’ont rien à envier à Goya, Picasso ou Hemingway !Enfin, eu égard à leur prétendu courage, rappelons que, en 1992 à Saint-Sever, des toreros ont organisé une expédition punitive de nuit, par vengeance et par dépit. En effet, on leur avait préféré des tueurs espagnols. Au lieu d’affronter les responsables de leur éviction, ils ont préféré poignarder lâchement les taureaux prévus pour la corrida du lendemain ! Denis Loré et Stéphane Fernandez Meca, condamnés en 1994 pourdestruction de biens mobiliers, sont devenus matadors vedettes, portés aux nues par toute la presse, qui vante leur courage !
Alors, aux matadors qui prétendent aimer les taureaux, nous répondons : On ne tue pas ce que l’on aime !
*novillada : spectacle similaire à la corrida avec des animaux plus jeunes
Source : Alliance anticorrida
http://www.anticorrida.org/index2.htm
Le qui a dit quoi politique – réponses
N° 1 : « L’éducation doit devenir une priorité avec les moyens et les personnels sttuaires suffisant pour assurer l’égalité d’accès au savoir pour tous les enfants » – José Bové
N° 2 : « Ma vision de la France est réaliste et humaine car elle vise à assurer à chaque Français, quels que soient sa race, sa religion, ses choix personnels ou sa condition sociale, le choix de son avenir et la priorité dans son propre pays » – Jean Marie Le Pen
N°3 : « Tous, nous voulons la réouverture des bureaux de poste dans toutes les communes, tous, nous voulons la réouverture de nos écoles communales et de nos classes, nous voulons l’abrogation des lois antilaïques, nous voulons défendre tous les emplois, dans l’industrie, dans l’agriculture, nous voulons la réouverture de nos hôpitaux et de nos maternités » – Gérard Schivardi
N°4 : « Augmenter le budget de la recherche de 5% par an pendant dix ans. Exempter d’impôt les revenus des brevets déposés par les chercheurs résidant en france » – François Bayrou
N°5 : « Relancer l’emploi, c’est faire le choix de bons salaires, d’une Sécurité d’emploi et de formation pour toutes et tous, c’est faire le choix d’une politique industrielle et de recherche dynamique qui développe le potentiel de notre pays » - Marie – George Buffet
N°6 : « Nous allons bâtir ensemble un ordre juste : faire reculer les précarités, les ingégalités, les brutalités, les violences ; assurer les sécurités nouvelles de l’emploi, des salaires et des retraites, du logement et de la santé » – Ségolène Royal
N°7 : « Pour éradiquer la pauvreté et faire cesser la violence et les humiliations. Pour en finir avec la compétition acharnée, l’angoisse de la précarité et le stress au travail » – Dominique Voynet
N°8 : « Je favorisai fiscalement les petites entreprises qui créént de l’emploi plutôt que de subventionner les multinationales qui licencient et délocalisent pour accroître leurs profits. J’encouragerai l’apprentissage. » – Philippe de Villiers
N°9 : « L’état, de son côté, peut et doit créer des emplois dans les services publics qui se dégradent tous, faute d’effectifs en nombre suffisant. Il faut embaucher le personnel nécessaire danjs les hôpitaux publics, dans les maisons de retraite, à l’Education nationale, dans les transports publics. » – Arlette Laguiller
N°10 : « Je demanderai aux entreprises de faire un effort sur les salaires, en contrpartie de l’effort de l’Etat sur les allégements des charges, et je garantirai l’égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes. » – Nicolas Sarkozy
N°11 : « Interdire à vie toutes responsabilités publiques, associatives ou électorales pour tout élu ayant été condamné dans des affaires financières ou au pénal. » – Frédéric Nihous
N°12 : « L’éducation, la santé, l’énergie, la culture, l’eau, les télécommunications ou les transports…ne sont pas des marchandises. Ils doivent revenir à une logique de service public. » - Olivier Besancenot
Certains sont étonnants non ?
L’ombre du vent – Carlos Ruiz Zafon
La biographie de l’auteur :
Carlos Ruíz Zafón (Barcelone, 1964) est un auteur espagnol. Ruíz Zafón écrit principalement en castillan. Il habite depuis 1994 à Los Angeles où il écrit des scénarios de films.
A l’âge de quatorze ans, Carlos Ruiz Zafon écrit son premier roman, une histoire truculante de 500 pages. À dix-neuf ans, il choisit pourtant de faire carrière dans la publicité, qu’il quitte rapidement pour se consacrer à son roman El principe de las tinieblas (Le prince du brouillard, 1993) qui a gagné le prix de la jeunesse d’Edebé en 2000.
Son deuxième roman La sombra del viento, un roman qui a reçu un accueil chaleureux de la critique et le prix Planeta en 2004, a été traduit en catalan, en anglais, en allemand et en français. Il a été sélectionné dans les romans étrangers pour le prix Femina 2004. Il a reçu aussi de nombreux prix, en France, le Prix des Amis du Scribe et le Prix Michelet en 2005, au Québec, le Prix des libraires du Québec 2005 (Roman hors Québec).
La littérature de Charles Ruiz Zafón est caractérisée par un style très élaboré avec une grande influence de la narration audiovisuelle, d’une esthétique gothique et expressionniste et la combinaison de beaucoup d’éléments narratifs dans un registre(contrôle) techniquement parfait. Cette technique impeccable et un domaine extraordinaire du langage et de la structure narrative lui permet de combiner des éléments différents, du roman traditionnel du XIXe siècle à un emploi impactant des images et des tissures de grande force sensorielle. Ruiz Zafón est de la même manière un grand créateur de personnages, lequel joint à son expert un domaine de la tension et de la construction des narrations lui permet d’articuler des trames de complexité extraordinaire avec une simplicité et une facilité trompeuse.
Le mot de l’éditeur :
Dans la Barcelone de l’après-guerre civile, » ville des prodiges » marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours.
Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon – Daniel Sempere, le narrateur – dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L’enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d’occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y » adopter » un volume parmi des centaines de milliers.
Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l’entraîner dans un labyrinthe d’aventures et de secrets » enterrés dans l’âme de la ville » : L’Ombre du Vent. Avec ce tableau historique, roman d’apprentissage évoquant les émois de l’adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l’Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s’emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Le mot de Moi :
Je ne sais pas si ce livre est de la grande littérature, mais là n’est pas l’important, j’ai commencé ce livre et je me suis complétement laissée envahir par l’histoire, j’ai vécu ce livre aux travers de ces personnages et de leurs histoires, j’étais pendue à leurs destins. Inutile de vous dire que j’ai aimé !!!!
A lire si vous aimez, les histoires alambiquées, les destins croisés, un brin de surréalisme, une dose de sentiment, des rêves d’enfant, un peu de folie….laissez vous tenter.
Important : en cas d’urgence
Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d’accidents de la
route, les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des
interventions, on ne sait jamais qui contacter dans ces listes interminables
de contacts.
Les ambulanciers ont donc lancé l’idée que chacun d’entre nous rentre
dans son répertoire, la personne à contacter en cas d’urgence sous le même
pseudonyme.
Le pseudonyme international connu est « ICE » (= In Case of Emergency).
C’est sous ce nom qu’il faut entrer le numéro de la personne à contacter,
utilisable par les ambulanciers, la police, les pompiers ou les premiers
secours.
Lorsque plusieurs personnes doivent être contactées on peut utiliser
ICE1, ICE2, ICE3, etc.
Facile à faire, ne coûte rien et peut apporter beaucoup.
Si vous croyez en l’utilité de cette convention, faites passer le message
afin que cela rentre dans les moeurs
Le qui a dit quoi politique
Bon à quelques jour des élections un petit jeu politique, retrouvez à qui appartiennent ces phrases extraites de leurs programmes :
N° 1 : « L’éducation doit devenir une priorité avec les moyens et les personnels sttuaires suffisant pour assurer l’égalité d’accès au savoir pour tous les enfants »
N° 2 : « Ma vision de la France est réaliste et humaine car elle vise à assurer à chaque Français, quels que soient sa race, sa religion, ses choix personnels ou sa condition sociale, le choix de son avenir et la priorité dans son propre pays »
N°3 : « Tous, nous voulons la réouverture des bureaux de poste dans toutes les communes, tous, nous voulons la réouverture de nos écoles communales et de nos classes, nous voulons l’abrogation des lois antilaïques, nous voulons défendre tous les emplois, dans l’industrie, dans l’agriculture, nous voulons la réouverture de nos hôpitaux et de nos maternités »
N°4 : « Augmenter le budget de la recherche de 5% par an pendant dix ans. Exempter d’impôt les revenus des brevets déposés par les chercheurs résidant en france »
N°5 : « Relancer l’emploi, c’est faire le choix de bons salaires, d’une Sécurité d’emploi et de formation pour toutes et tous, c’est faire le choix d’une politique industrielle et de recherche dynamique qui développe le potentiel de notre pays »
N°6 : « Nous allons bâtir ensemble un ordre juste : faire reculer les précarités, les ingégalités, les brutalités, les violences ; assurer les sécurités nouvelles de l’emploi, des salaires et des retraites, du logement et de la santé »
N°7 : « Pour éradiquer la pauvreté et faire cesser la violence et les humiliations. Pour en finir avec la compétition acharnée, l’angoisse de la précarité et le stress au travail »
N°8 : « Je favorisai fiscalement les petites entreprises qui créént de l’emploi plutôt que de subventionner les multinationales qui licencient et délocalisent pour accroître leurs profits. J’encouragerai l’apprentissage. »
N°9 : « L’état, de son côté, peut et doit créer des emplois dans les services publics qui se dégradent tous, faute d’effectifs en nombre suffisant. Il faut embaucher le personnel nécessaire danjs les hôpitaux publics, dans les maisons de retraite, à l’Education nationale, dans les transports publics. »
N°10 : « Je demanderai aux entreprises de faire un effort sur les salaires, en contrpartie de l’effort de l’Etat sur les allégements des charges, et je garantirai l’égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes. »
N°11 : « Interdire à vie toutes responsabilités publiques, associatives ou électorales pour tout élu ayant été condamné dans des affaires financières ou au pénal. »
N°12 : « L’éducation, la santé, l’énergie, la culture, l’eau, les télécommunications ou les transports…ne sont pas des marchandises. Ils doivent revenir à une logique de service public. »
A noter l’ordre des candidats est aléatoire sans aucune priorité à une conviction politque.
L’idée de ce petit jeu m’est venue en me promenant sur le blog de Marie Christine’sweblog
http://unelouvedeputeaux.blogdns.org/
qui a eu la bonne idée d’ouvrir le débat sur nos convictions politiques.
Alors maintenant à vos claviers !!!!
Réponses après le 1er tour….
Les joyaux de la planète souffrent de la chaleur, alerte le WWF!!!
Publié bien avant le rapport du Groupe de travail II du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), le document du WWF souligne également le travail entrepris par le WWF dans chacune des dix régions afin de mettre en place des programmes de protection face aux dérèglements climatiques.
« Tout en continuant à faire pression sur les gouvernements pour obtenir la réduction des émissions de gaz à effet de serre, nous travaillons également sur des stratégies d’adaptation pour aider à protéger ces joyaux qui font partie de notre patrimoine planétaire et à soutenir les populations qui y vivent » explique Docteur Lara Hansen, Responsable du Programme sur le changement climatique au WWF. « Nous tentons par tous les moyens de gagner du temps pour que des mesures soient prises afin de stopper le changement climatique. »
Le Grande Barrière en Australie est menacée par le réchauffement des eaux à l’origine du blanchiment et de la mort du corail. De son coté, le fleuve Yang-Tsé-Kiang fait face à des pénuries d’eau dues à la fonte des glaciers. Face à la menace, le WWF évalue la situation. Il met en place des projets pilotes destinés à montrer au gouvernement et aux communautés locales comment mieux s’adapter aux effets du changement climatique.
Parallèlement, la multiplication incessante des incendies de forêt pourrait annoncer la disparition d’une des plus grandes forêts du monde. Les forêts valdiviennes au Chili et en Argentine sont dotées d’arbres qui atteignent jusqu’à 3.000 ans. Le WWF et ses partenaires locaux luttent pour obtenir un statut de protection pour ces exceptionnelles forêts anciennes.
« Des tortues aux tigres – du désert de Chihuahua aux immenses forêts Amazoniennes – tous ces trésors naturels sont menacés par l’augmentation des températures, » explique Lara Hansen. « Même si on peut améliorer l’adaptation de ces écosystèmes au changement climatique pour ne pas les voir disparaître complètement, seules des mesures draconiennes de réduction de gaz à effet de serre auront une efficacité sur le long terme pour assurer leur sauvegarde. »
Les dix joyaux menacés
Le rapport Sauver les joyaux naturels du changement climatique présente dix écorégions exceptionnelles, les menaces et les réponses du WWF. Les dix régions sont la Grande Barrière en Australie et d’autres massifs coralliens ; le désert de Chihuahua au Mexique et aux Etats-Unis ; la tortue imbriquée ou la tortue à écaille dans les Caraïbes ; l’un des plus vieux témoin vivant du climat : la forêt tropicale valdivienne ; les tigres et les populations dans les Sundarbans en Inde, la rivière Yang-Tsé-Kiang en Chine ; la forêt Amazonienne ; le destin du saumon sauvage dans la mer du Béring ; les glaciers en fonte d’ Himalaya et les forêts côtières de l’Afrique de l’Est.
Source : wwf.fr
Alors quelques gestes au quotidien peuvent contribuer au retardement de ces catastrophes….
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